Aie confiance !!
Séance d’envoutement collectif. Lors de ce premier CSE de l’année, la direction a, une fois encore, tenté (comme Kaa, le serpent du livre de la jungle) de nous hypnotiser.
Aie Confiance ! Toi salarié. La transformation de l’entreprise va bien se passer. Holding, budget contraint, rapprochement avec ICI. Aie Confiance !
En réponse à notre liminaire « Vœux 2025 : pas de bon génie », la directrice du réseau, Isabelle Staes, a essayé de nous entrainer au pays imaginaire : « Vous avez peint un tableau assez noir et permettez-moi d’y mettre un peu de couleur : un peu de rose et un peu de bleu ». Après le rêve bleu d’Aladdin, nous voici donc au pays imaginaire avec Peter Pan. « En 2024, nous avons porté le débat démocratique partout dans le réseau, nous avons contribué aux JO, encore avancé sur le numérique, créer une direction de la prévention des risques, finaliser le lancement de la marque ICI sur nos antennes et globalement offert une meilleure visibilité de la proximité. Quelles que soient les difficultés, les questionnements et inquiétudes, l’offre de proximité a affirmé sa compétence auprès du public en renforçant sa notoriété et il faut saluer le travail de toutes les équipes du réseau régional. »
« Rêve ta vie en couleur. C’est le secret du bonheur… tu t’envoles… tu t’envoles… ! »
Hé bien, nous, on est resté au sol. Scotchés sur notre chaise 3 jours durant. Plombés par le défaut d’informations, le manque de réponses. Et le contenu du Compte-rendu de la commission antennes numériques et linéaires, information régionale et locale du 3 décembre 2024.
Ici rien n’est clair.
(on virevolte dans le brouillard…)
La direction navigue à vue et dans les antennes, ça donne le tournis.
Les éditions ICI, spirale infernale.
Les griefs sont nombreux. Et le travail mené par la direction sans effets.
- La vie privée des salariés est toujours impactée par le décalage des prises et fins de service.
- L’organisation du travail à 4 jours connait de grandes disparités. Une approche à décliner dans toutes les régions devrait être validée par la commission de suivi.
- Versionning important, erreurs de synthés (à Paris, ce ne sont pas les journalistes qui rentrent les synthés mais des assistantes de rédaction), arrivée tardive des sujets, les différences de process entre sites génèrent des tensions. Certains sont modifiés pour améliorer les échanges.
- Difficultés autour des nouveaux outils, bugs, mises à jour et manque de temps pour se former.
- Impossibilité de faire un direct en simultané dans les 24 antennes. Résultat : en cas d’actualité nationale, une seule région le prendra en main pour l’ensemble du réseau.
- Sur-sollicitations des équipes de reportage (web, France Info, 12/13, réseaux sociaux, …) déjà à flux tendu et augmentation de la charge mentale.
Au final, c’est l’engrenage : manque de temps, dégradation de la qualité, des conditions de travail, perte de sens et tout ça pour quoi ? Des audiences en bernes, dans les choux, pour ne pas dire catastrophiques à certains endroits !
Les matinales « radio-filmées », quant à elles, continuent leur lent déploiement. Après Auxerre, Reims et Armorique en 2025, restera Nîmes, Clermont, Metz et Nancy pour atteindre enfin la totalité des 44 locales de Radio-France en 2026.
Leur mise en image par un éditeur visuel dont le contrat est externalisé à Eden production pose toujours problème. Mais selon le directeur du projet ICI, il faut attendre la fin du contrat, en juin 2026, pour espérer récupérer ce qui relève de notre cœur de métier. La priorité pour France Bleu (ICI) depuis 6 mois est de regagner de l’audience. Donc, mollo sur les collaborations sauf sur les grands évènements fédérateurs comme l’Enduro du Touquet et le Carnaval de Dunkerque.
Emissions antennes et PAE : déjà amputées (comme le bras du Capitaine crochet) par la direction, elles sont en train de se faire dévorer par les boites privées (et pas par le vilain crocodile).
Les rares émissions qui figurent encore sur nos grilles sont externalisées. Dernier exemple en date : un magazine sur le vélo pour le réseau co-produit en Aquitaine avec « Grand Angle » ne verra travailler aucun salarié de FTV. Gloups ! Aie confiance ! « L’externalisation n’est pas une nouveauté » et « ce n’est pas le même budget ». Certes, mais cela répond à une rationalisation des coûts et surtout à la dernière obsession de la direction : la baisse des ETP.
Numérique cherche fée clochette :
Là clairement il n’y a plus que la magie en mesure de nous aider. On cherche toujours un cadre, des moyens et une manière de régler cette énorme problématique sur la confusion des genres. Information, communication, partenariats. Qui écrit quoi ? Qui signe quoi ? Comment ? Le web est un grand foutoir.
Et ça continue… Depuis le 15 octobre, des articles « écrits » par les coordinateurs centraux à partir des reportages des locales et publiés sur le site de France Bleu font polémique. Il y en a 10 par jour en semaine, et 5 durant les week-ends et les vacances. Et ils n’ont rien à voir avec les codes du web puisqu’il s’agit de simples « copier-coller » du commentaire du journaliste, « réécrits à la marge » selon Delphine Vialanet, directrice du numérique régional. Chacun appréciera. A commencer par les journalistes auteurs desdits sujets qui voient leur travail repris, modifié, copié et finalement signé France 3 Régions. Le tout au mépris de toutes les règles de base : sans vérification, et surtout sans en être avertis. Mais, tenez-vous bien, les rédacteurs en chef adjoints devraient l’être, le jour de la publication !
S’il vous plait, un peu de poussière d’étoiles pour éclaircir et recadrer tout cela, vite.
Déjà déployée dans le réseau (et déjà moquée), la Marque ICI n’a toujours fait l’objet d’aucune information du CSE. Le juge des référés, dans le recours porté par France Bleu, a pourtant estimé que les élus auraient dû être consultés.
Eh bien. Pas de quoi écarquiller les yeux de Xavier Riboulet. Pour le directeur du projet ICI : « nous n’avons pas changé de marque. ICI est un label comme Okoo ou Culture Box ». Lui aussi a dû être ensorcelé. Pas besoin d’être un génie pour voir que cela conduit à un effacement progressif de l’identité France 3.
La CFDT déplore la méthode : insidieuse, rampante, floue… Aie confiance !
La même que celle qui a fait débat lors du dernier CSE Central de décembre.
Voir notre CR et notre liminaire
CSE Central : alerte rouge !
L’entreprise est en déficit.
Elle doit emprunter 50 millions d’euros pour faire face aux investissements urgents et non reportables, et a déjà un autre emprunt de 12 millions pour financer des projets dans le cadre de « France 2030 ».
Le projet de budget 2025 est placé sous le signe de la rigueur, avec une réduction du financement public de 86 millions d’€ et de 180 équivalents temps plein par rapport à 2024. Le chiffre d’affaires prévisionnel est en baisse de 104 M€ et les recettes publicitaires de 87 M€.
Alors, après l’annonce d’une nouvelle coupe budgétaire de 43 millions d’euros, le risque est bien réel de mettre en danger FTV, l’avenir de l’entreprise et de ses salariés, les missions du service public de télévision.
Le CSE C avait lancé un droit d’alerte économique en octobre 2024 qui est par conséquent maintenu. Les coupes budgétaires et leurs impacts sur la stratégie de FTV feront l’objet d’une analyse de nos experts.
Fin de notre accord collectif ?
La Direction nous l’assure. Elle n’a pas l’intention de renégocier ce texte en 2025. Mais elle précise avoir diligenté un audit comparant notre accord avec ceux en vigueur ailleurs, notamment avec l’accord de branche (bien moins disant que notre accord collectif) … CQFD : on attendra la holding ou la fusion pour mettre à mal nos accords.
Vidéos Mobiles de La Fabrique : Ne circulez pas ! Y a rien à voir !
Sous prétexte de non-conformité « crit-air » et d’un coût trop élevé pour les moderniser, les deux cars Benjamins de Marseille et Rennes seront supprimés au printemps 2025. Quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage. Ici, on diminue l’activité, on ne modernise pas, puis on dit qu’il n’y a pas de travail ou que l’outil est dépassé.
Le CSE C exige une information consultation de l’instance ainsi que des CSE réseau F3 et siège, concernés. Le CSE C a également mandaté un expert et le secrétaire du CSEC pour agir en justice.
Cyclone à Mayotte : émotion et solidarité
FTV contribue à l’élan de solidarité. Un concert a permis une levée de fonds, le don de RTT est encouragé, la station va être reconstruite. Des équipes de renfort ont aussi été envoyées sur l’île. Ce dispositif doit pouvoir être activé si nécessaire partout.
Pour la CFDT, cet événement doit obliger FTV à mettre en place des plans de continuité de l’activité spécifiques, en situation de catastrophe naturelle, et á intégrer les enjeux climatiques dans sa stratégie immobilière.
A l’assaut du maquillage
Nous voici ici avec nouvelle aventure digne du Capitaine Crochet.
L’histoire de scriptes… (Oh pardon !)… de maquilleuses, de moins en moins nombreuses, qui font face à la volonté farouche de la direction d’externaliser encore un peu plus leur métier.
Elles sont 12 encore en CDI dans le réseau (2 à Lyon, Grenoble, Nancy, Toulouse ; 1 seule à Strasbourg, Clermont, Bordeaux et un mi-temps à Orléans) et risquent fort de ne pas être remplacées lors de leur départ à la retraite. Ou plutôt si… mais pas par des CDI. Car la direction entend bien renouveler l’appel d’offre qui lui permet d’avoir recours à des prestataires. Un appel d’offre déjà très « limite » juridiquement, étant donné le lien de subordination, mais qui avait fait l’objet d’un compromis en 2021, uniquement pour les sites fonctionnant déjà avec de la prestation. Cette fois, la mise en conformité à bon dos. Et la directrice du réseau l’avoue tout de go : « ça s’appelle la rationalisation des coûts ! C’est un choix de l’entreprise pour l’ensemble des collaborateurs de ce métier ».
Et bien pour la CFDT, ça s’appelle du délit de marchandage !
Le maquillage est une activité reconnue par nos accords d’entreprise et par la branche professionnelle. Elle ne devrait pas faire l’objet de prestations. Et comme la direction reconnait y trouver un intérêt financier au détriment des salariées concernées, la CFDT n’hésitera pas à porter l’affaire devant les juges, si la direction ne renonce pas à son projet.
Ce point devrait être remis à l’ordre du jour du prochain CSE en présence d’inspecteurs du travail.
Les équipes légères malmenées
12 salariés de La Fabrique ont été transférés au réseau le 01 novembre dernier, ils sont géographiquement répartis sur tout le territoire et désormais administrativement rattachés à l’antenne de Rennes.
La direction du réseau confirme que les 4 postes actuellement vacants de Marseille et Lyon ont aussi été transférés et seront pourvus. Alors que demande le peuple ? Eh bien juste de quoi travailler…
Car, vous n’allez pas le croire, le matériel lui n’a pas suivi ! Les voitures non plus !
Alors avec un plan de charge de 614 jours (hors Paris) pour 2025. L’antenne de Bretagne est contrainte de louer ce qui manque. Un comble de malhonnêteté !
Les salariés des équipes légères apprennent aussi, par la bande, qu’ils ne pourront plus participer aux activités de La fabrique comme la fiction. La direction du réseau s’étonne, celle de La Fabrique lui répond par écrit : « des passerelles seront mises en œuvre mais pas vers la fiction ». Point. Fin du débat. Les promesses n’engagent que ceux qui y croient.
La direction de La Fabrique jette le bébé avec l’eau du bain. Elle n’en est pas à son coup d’essai, elle a déjà été condamnée en justice et le sera sans doute encore !
Santé : « il en faut peut pour être heureux… »
Vers une méthode d’enquête partagée ?
Plusieurs enquêtes, suite à des Accidents de Travail, sont en cours ou ont été restituées. Les élus de la CSSCT et le Directeur de la prévention des Risques Professionnel souhaiteraient s’accorder sur une méthodologie plus efficace, notamment en termes de délais entre l’AT et les actions correctrices. Ce n’est pas encore le cas, donc ce sera à l’ordre du jour des prochaines réunions de cette Commission et ce sujet est également porté en CSSCT Central.
Emploi : le calme avant la tempête
Compte rendu de la commission emploi-formation du 9 décembre 2024.
« Aie confiance ! », la direction a tout prévu. France Télévisions doit se séparer en 2025 de 180 ETP (équivalents temps plein) dont 35 dans le réseau (sur un total de 2920,4 ETP moyens).
On aurait pu se dire (et même le croire !) que les économies avaient déjà commencé. Eh bien non ! Avec 2 697 salariés permanents (dont 252 à temps partiel) au 30 septembre 2024, le réseau compte 33 salariés de plus qu’au 01 janvier 2024. Et même, 100 permanents supplémentaires depuis la fin de la RCC.
Du 1er janvier 2024 au 9 décembre 2024, 202 postes ont été comblés (100 journalistes et 102 PTA) :
· 60% par de la mobilité (le plus souvent depuis le Réseau)
· 40% par du recrutement (15 recrutements externes et 69 recrutements de CDD).
Et malgré tout, les heures supplémentaires et complémentaires explosent. Fin septembre 2024, elles avaient déjà augmenté de 31% par rapport à 2023.
Évolution des emplois permanents en personnes physiques par directions régionales.
De mars 2023 (point des effectifs au plus bas après la RCC) à septembre 2024 :
Pas besoin de vous expliquer plus longtemps, vous avez compris, on va prendre cher !
Plus question de petites averses, ni même de giboulées, cette fois nous allons avoir droit à la tornade, celle qui arrache tout sur son passage et qui risque de laisser sur le carreau une partie du réseau.
Reste encore un secteur peu impacté pour l’heure : la formation.
Elle représente à France Télévisions pour 2025 un budget global de 7 320 000€ (en tout cas, tant que les coupes budgétaires ne viennent pas l’affecter).
2 639 731 € sont consacrés au Réseau France 3 pour 7 838 stagiaires à 44% issus des régions.
En 2025, les innovations et nouvelles technologies représentent 54% du budget (MOSAR, NRCS, Open Média, Grands capteurs, cybersécurité, décor virtuel, DATA…)
S’ajoutent aussi 3 nouvelles formations liées à l’intelligence artificielle :
- Intelligence artificielle et data en production audiovisuelle (à destination des Chefs de centres et accompagnants technique)
- Explorer les outils de l’intelligence artificielle
- Intelligence artificielle au service des contenus
Pour la Cfdt, il est indispensable d’encadrer au plus vite l’utilisation de l’IA. Nous demandons, une nouvelle fois, la création d’une instance dédiée.
Le projet de développement des compétences (PDC) prévoit également un nouveau cursus scriptes pour 2025. 8 personnes devraient être formées et il pourrait s’agir de la dernière promotion.
123 635€ sont consacrés à la Fabrique.
346 salariés devraient effectuer 3 670 heures de formation (UHD/ HDR, technologie IP, cursus managérial, habilitation électrique, CACES, mieux se connaitre pour mieux travailler avec les autres…).
La CFDT déplore que l’accompagnement des salariés visés par le non-renouvellement des cars benjamins n’ait pas été anticipé. De fait, les besoins qui pourraient en découler ne pourront s’envisager que par aménagement du plan 2025.
Nouveaux métiers négociés
Technicien de Plateau
10 salariés (éclairagistes, machinistes et OPV) pourraient se voir proposer en 2025 une modification de contrat vers ce métier.
Chef de Projet numérique
6 chargés d’édition numérique se verront proposer une évolution vers Chef de Projet Numérique.
Aucune obligation, il ne peut s’agir que d’une proposition.
La CFDT rappelle qu’en aucun cas, la négociation de ces métiers ne doit avoir pour objet ou effet de paupériser l’activité des salariés ou de compromettre l’activité des uns au profit des autres. Il s’agit simplement d’ouvrir des opportunités d’évolution pour les salariés volontaires lorsque l’organisation du travail nécessite leur mise en place.
L’état des lieux du maillage fait plouf !
La CFDT avait demandé ce point. Objectif : obtenir un état des lieux des locales et des Bureaux d’Information de Proximité du réseau pour parler stratégie éditoriale. Combien de personnes ? Où ? Pour faire quoi ? Avec quelle organisation du travail ? Et quelle planification ?
Car si certaines implantations sont inhabitées, voire désertées, une nouvelle tendance émerge avec les économies d’ETP : celle de voir les équipes des BIP régulièrement absorbées par les BRI, laissant leur zone sans couverture.
Au final, nous voici avec une cartographie et un état des lieux immobilier…
Nous renouvelons donc notre demande pour le prochain CSE.
ASC : les nouveautés 2025
Compte-rendu de la commission des ASC du 8 janvier 2025.
Pas de grands changements cette année mais plusieurs modifications :
- On garde l’enveloppe de 200 euros par salariés à eux d’en faire bon usage. Cette enveloppe permet des remboursements billetteries culture, cours de loisir (macramé, peinture, dessins), forfait de ski, entrée au bowling, escape game et massage bien-être. Attention, pour les massages, les ASC ne peuvent rembourser que les massages bien-être, les modelages en institut, mais aucunement des massages paramédicaux réalisés chez un ostéopathe, chiropracteur ou acupuncteur… C’est l’URSSAF qui le dit.
- Pour la même raison, les cours de langue pour adultes ne seront plus remboursés par les ASC.
- En mars 2025, lors de la prochaine campagne de commande de chèques vacances, les salariés pourront choisir entre chèques vacances papiers ou dématérialisés.
Attention : le site du CIORTF n’est pas paramétré pour prendre les chèques ANCV Connect, donc si vous souhaitez régler vos séjours CIORTF, ce sera avec la version papier.
- La campagne de chèque culture et chèque vacances sera faite en même temps en mars prochain. Les salariés pourront prendre deux carnets de chèques culture, un carnet de chèques vacances.
- Appel à volontariat : la commission souhaite créer un groupe de salariés en charge de la gestion des biens des ASC. Leur mission s’ils l’acceptent : passer dans les emprises du CSE régulièrement et à minima deux fois par an, si possible avant les périodes hautes (hiver et été), pour réaliser de la maintenance et du petit entretien.
- Les chiens ne seront désormais plus admis dans les biens du CSE.
- Les retraités de FTV pourront avoir accès aux biens du CSE en période de basse activité avec un tarif pour les personnes extérieures. Les actifs restent prioritaires sur les périodes de haute et de basse activité.
- Un seul catalogue à l’année doit sortir prochainement pour toutes les locations du CSE.
Nouveaux représentants de proximité :
Pays de la Loire : Sandrine Gadet est désignée RP titulaire à Nantes en remplacement d’Alexandra Boulay-Dupé, démissionnaire.
Normandie : Bérangère Dunglas suppléante est désignée RP titulaire à Rouen en remplacement d’Hervé Colosio, démissionnaire.
Prochain CSE Réseau les 19 et 2O février 2025
Votre représentante syndicale et vos élus Cfdt :
Séverine Dangin, Metz ; Pascal Lefebvre, Lille ; Bruno Espalieu, Lille ; Yvonne Roehrig, Strasbourg ; Olivier Mélinand, Brest ; Juliette Roché, Orléans ; Violette Delvecchio, Bordeaux.
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