Ciel orageux, rares éclaircies
Ordre du jour très chargé ce mois-ci. Un gros pavé dans la mer. Grille de rentrée, dispositif élections, bilan absentéisme, bilan du médecin du travail, bilan formation. Le tout dans une ambiance somme toute électrique.
Cela ne nous avait pas manqué. Si la pression est forte sur les managers en cette période pré-électorale impromptue, nous profitons de ces propos liminaires pour rappeler deux choses :
Les RP, comme tous les représentants syndicaux, ne sont pas des punching-balls
. Même en cas de stress intense.
Toute forme d’agression verbale ou d’attaque personnelle est insupportable. D’autant plus quand un diagnostic RPS est en cours dans l’antenne. Et quand des formations « Gestion des tensions professionnelles » « Management » « Formations prévention des RPS » « Favoriser les interactions dans le collectif » « Mieux échanger pour mieux travailler ensemble » ont été dispensées, nombreuses, l’année dernière.
- Dire aux RP que les questions ne sont pas suffisamment claires et donc ne pas y répondre, affirmer ensuite en instance avoir appelé plusieurs fois la secrétaire des RP pour obtenir plus d’informations sans jamais avoir eu de réponse, pour s’apercevoir le jour-même que ce numéro de téléphone n’est plus valable depuis des années relève d’une légèreté certaine.
Voilà pour l’ambiance. Passons désormais aux points.
- Semaine à 5 jours
On connaissait le passage (rare mais possible) à la semaine des 4 jours, voilà désormais le passage à 5 jours.
Dans le service vidéo, le pseudo audit sur le passage à la semaine à 4 jours se solde finalement pour un salarié, le seul à 4 jours depuis des années, par le passage à 5 jours.
Belle réussite.
La direction met en avant son souci « d’équité ». Deux autres vidéos ayant fait part de leur envie, lors de l’audit, de passer à 4 jours si l’occasion se présentait, la direction a décidé de … ne l’accorder à personne. Plus personne.
Attention égalité n’est pas équité. Cette égalité de traitement, incontestable, est tout simplement injuste au vu des situations personnelles. Elle peut générer aussi des tensions au sein du collectif.
Nous suggérons au chef de centre d’organiser une réunion de service, en présence de la RH, afin que le sujet soit abordé et discuté collectivement. Afin de voir si effectivement, l’égalité de traitement est totalement justifiée. Et si elle ne se résume pas à un grand principe, placardé, artificiellement sur la porte de la régie.
- GRILLE DE RENTRÉE : ICI rien de bien neuf
Pour rester dans la philosophie socratique du « Je sais que je ne sais pas », parlons de la grille de rentrée.
Enfin parlons, c’est un bien grand mot.
Car, mises à part les informations que nous vous avons donné le mois dernier ( V. Yééé les Rp mai 2024) sur les éditions Ici, pas grand-chose.
La durée de la « partie nationale » sera de 7 à 8 mn + 3mn de dossier sur une tranche de 32 mn.
Il reste donc pour la partie région : 21 mn.
Elles sont belles, tiens, la régionalisation et l’info de proximité. Tempo aura tout mis cul par-dessus tête pour quoi ? Une minute en plus d’info régionale ?« Ça nous permettra de travailler plus en longueur, de marbrer plus de sujets pour les week-ends où nous tirons la langue » explique la rédactrice en chef.
Le « challenge », « le défi », « la belle opportunité », évoqués en septembre dernier, à tour de bras pour galvaniser des troupes sceptiques, a fait long feu. Maintenant on souffle, en direct, c’est encore mieux. On incarne.
Mais c’est peut-être parce que nous n’avions pas bien compris le concept de régionalisation. « La régionalisation c’est je passe plus de temps avec mon présentateur que j’identifie, je reste dans ma région, je ne fais plus des allers retours avec Paris » explique la Directrice. On fait des aller retours mais en restant sur place. C’est ça le progrès.
Sur la partie régionale justement, encore très peu d’informations. La rédactrice en chef estime que ce n’est pas le rôle des RP de transmettre ces informations là à leurs collègues. Mais que c’est à elle, et rien qu’à elle précise-t ’elle, qu’appartient la primeur de l’information.
Si nous sommes conscients que l’actualité nationale bouscule les agendas, les antennes et les consciences, les questions sur la rentrée restent légitimes. Mi-juin, elles sont d’habitude, au pire, évoquées, au mieux, discutées collectivement et réglées.
La réunion de la rédaction a été planifiée puis annulée deux fois (ce que nous comprenons évidemment), sans nouvelle date. En attendant, le contenu de nos JT restent en suspens. Quels formats retenus pour la rentrée ? Quid de la double présentation ? De la présentation week-end mise à mal par le départ d’un des présentateurs ?
« Rien n’est tranché pour la présentation. Ce que je peux vous dire c’est qu’il n’y aura pas de grands changements si ce n’est un journal resserré et l’accent sur le décryptage. » « Pour le week-end, nous réfléchissons à de nouveaux formats sur lesquels on prend le temps de travailler. Des formats qui sont en accord avec les aspirations de la société » C’est-à-dire ? En ce moment, les aspirations de la « société » ne sont pas, disons, très belles à voir.
À force de questions et d’un énervement palpable, de l’autre côté de la table, nous apprenons au détour d’une phrase que des ULDH seront tournés et marbrés cet été pour la rentrée. « ULDH continue donc ? » « Oui voilà, vous pourrez le mettre dans votre compte-rendu comme ça »
Ambiance.
Une réunion de la rédaction devrait être organisée vers le 10 juillet. Pendant les grandes vacances.
Rentrée : 9 septembre.
- ORGANISATION DE TRAVAIL : C’EST PAS LA PERM
Nous demandons des précisions sur ce que recouvre exactement la notion de « actu perm ». En effet, bien souvent, un direct (à Colmar par exemple) est calé pour le soir sur une actualité non-urgence et connue d’avance. Ce qui se rapprocherait plus d’un 12-21h ou parfois même d’un 14h-24h que d’un 10h30-20h.
La rédactrice en chef explique que les journalistes concernés n’ont qu’à rentrer leurs heures dans le RIA (MK quoi).
Nous lui répondons que ce ne sont pas tant les heures effectuées qui comptent que la planification en amont. Pourquoi les 14/24 n’existent quasiment plus ? Pourquoi ne pas réfléchir à des planifications au plus près de la réalité ?
« Alors c’est simple, la veille si on se rend compte qu’on a ce cas de figure et qu’il faut décaler la vacation, on appelle l’adjoint pour demander si on peut venir plus tard. Et non ce n’est pas un 14/24 déguisé. Déguisé étant un mot que je n’apprécie pas. »
Au bal masque hohéhohé. Est-ce le protocole à privilégier dorénavant ? « Ce n’est pas un protocole. Je préciserai cela sur ma prochaine note hebdomadaire, pas la peine de le mettre dans le compte-rendu. »
Mieux vaut deux fois qu’une.
- NUMÉRIQUE
Nous faisons le point sur les contenus numériques dans l’antenne d’Alsace. Une émission de vélo, peut-être à la rentrée, des courses cyclistes, des sujets insolites tournés avec une équipe légère qui cartonnent (1.5 millions de vues cumulées depuis le 10 avril), C’est Succulent, Stamm.
Pour le passage de la flamme Olympique, à l’heure où nous vous parlons : un avant-papier à J-4 sur le parcours, la veille même chose (infos pratiques) et le jour J (26 mai) : les moments forts + un live insta/TikTok.
Concernant la rédaction, une réunion entre le (les ?) adjoints numériques et les contributeurs web nous avaient été annoncée en avril dernier. Rien encore. Quels changements sur le web à la rentrée ? Y aura-t-il des nouveaux formats (chroniques, comparutions immédiates, séries) comme évoqué brièvement lors de la dernière réunion de la rédaction ?
« Je n’ai jamais parlé de rubrique, vous avez rêvé » répond la rédactrice en chef ».
Voilà c’est ça, on rêve éveillés : des séries d’articles, des réunions dédiées au web, des prévis numériques.
Du virtuel.
Information bien réelle celle-là : cet été, deux contributeurs seront planifiés chaque jour du lundi au vendredi.
- VÉLO DE REPORTAGE : du plomb dans la roue
Le dossier est encore et toujours entre les mains de Paris même si nous avons ouï dire que la direction du réseau refuse cette possibilité. Le vélo serait trop dangereux, accidentogène, pour être utilisé en reportage.
Nous nous étonnons du fait que d’un côté le vélo soit encouragé, par la prime vélo, substantielle chaque année, pour venir au boulot et de l’autre, jugé trop dangereux pour travailler.
Accident de trajet oui.
Accident de travail non, ça coûte plus cher.
Nous vous rappelons donc que l’usage de votre vélo personnel pour utilisation professionnelle est interdit.
- BILAN MÉDECIN DU TRAVAIL : c’est pas la grande foforme
Le docteur Julieta Milotoï a reçu (elle, ou son équipe) : 73 personnes lors de 93 visites. A noter l’augmentation de visites de pré-reprises et occasionnelles.
Le docteur a préconisé des aménagements de poste pour 14 salariés : allégement de la charge de travail, télétravail, limitation de port de charge, aménagements horaires de travail, utilisation UTS, matériel ergonomique.
8 personnes ont été orientées en psychiatrie.
Si cette dernière note la bonne collaboration avec l’entreprise, à l’écoute des aménagements de postes, elle insiste sur la nécessité de continuer le travail sur les RPS qui restent en première ligne des plaintes des salariés.
Les plaintes les plus fréquentes : charge de travail en augmentation, organisation du travail « catastrophique », manque de personnel, questionnement sur les compétences car « beaucoup d’erreurs de gestion », arrêts de travail pas remplacés, amplitudes horaires trop importantes (surtout depuis Tempo), « manque de communication et d’échanges avec la hiérarchie », contraintes budgétaires. |
Le docteur propose de réfléchir à la création de postes mieux adaptés aux plus de 55 ans. Surtout que la nouvelle réforme des retraites est passée par là et que nos effectifs sont vieillissants.
Pour conclure, « grâce aux alarmes des RP, au travail collectif et aux formations » 2023 a été une année plus apaisée que 2022. Mais des efforts restent à faire. Restons vigilants.
- ABSENTÉISME : toujours plus haut
Dix accidents de travail en 2023 dont six de trajets. L’année dernière s’est encore illustrée par de nombreux accidents de vélo.
Le taux d’absentéisme pour le premier trimestre 2024 est de :
- 6.66% à FTV
- 6.76% dans le Grand-Est
- 9.09% en Alsace
Un chiffre mauvais. Ainsi en janvier 2024, le taux d’absentéisme a frôlé les 10% contre 7.25% en janvier 2023. 8.49% en mars 2024 contre 5.46% en mars 2023.
Principaux concernés les services Antennes et Contenus (18%, +8.7 points) et la rédaction ( 12.7%, soit le double du premier trimestre 2023).
Autre fait préoccupant : la majorité des absences sont des absences de moins de trois jours : 38% pour la rédaction, 33% pour « antenne et contenu »
Globalement : 9.33% des salariés ont été absents moins de 3 jours, 4.31% de 4 à 8 jours, 6.46% de 9 à 30 jours. Non franchement, ce n’est pas bon. Qu’en déduit cette année la direction ? Quel est son plan d’action contre l’absentéisme, marqueur du mal-être au travail ?
- BILAN FORMATIONS : le paquet sur le management et les RPS
Nous vous en parlions en préambule, des efforts de formation ont été faits l’année dernière par le Réseau France 3 à l’égard des managers. Les alertes qui se sont multipliées dans le réseau ces deux dernières années n’y sont certainement pas pour rien. L’antenne d’Alsace incluse.
Ainsi 120 stagiaires ont suivi des formations ayant trait au « Management, efficacité professionnelle et développement personnel », certains ayant suivi plusieurs formations relevant de cette catégorie. 27 stagiaires dans la catégorie « prévention des risques santé et qualité de vie au travail »
Les formations techniques sont logiques : Openmédia/NRCS/ Avid/ Sony Alpha 7. Celles concernant les journalistes également : numérique et accent sur « l’incarnation » : Ecran tactile, Hub, animer un débat.
Comme chaque année, on ne comprend pas grand-chose aux tableaux détaillés.
Deux remarques cependant :
- Nous espérons sincèrement que les formations RPS, management, gestion des tensions professionnelles auront été utiles
- Les séniors sont trop peu concernés par les formations. 21% des stagiaires ont plus de 55 ans (ils représentent 26% des effectifs). Si effectivement, il faut être vigilant sur leur poste de travail, comme le préconise le médecin du travail, ils devraient en toute logique être l’objet de davantage de formations, reconversions …
- Programmes, y a encore un bug
- Sous-emploi organisé
Les équipes de Strasbourg ne contribuent à aucun produit grand Est (ex. EDR tourné majoritairement en Alsace par une Equipe Légère de Nancy)
Le délégué antenne et contenu (Dac) met en avant un souci de « distance ». « On propose aux salariés d’Alsace de tourner des produits Grand-Est quand c’est possible, certains refusent, notamment pour les EDR à cause de la distance. On ne force personne. »
Quant aux EDR tournés en Alsace « il faut donner de l’activité aux techniciens de Lorraine afin d’avoir la meilleure répartition possible. »
Ça tombe mal décidément.
Nous, ce n’est pas ce qu’on nous dit. Si les équipes légères de Strasbourg rechignent à se déplacer c’est par manque de formation sur le matériel des autres antennes. La question mérite d’être creusée. Pour rappel, la diversification des tâches, est un facteur important pour trouver à défaut du bonheur au moins du plaisir au travail.
- Pourquoi uf de spür n’est pas tourné par un OPV ?
En parlant de diversification, les OPV ne sont pas à la fête. Cantonnés aux JT. Pourquoi ne sont-ils pas planifiés sur le module Uf de Spur ? C’est sur fond noir certes, pas vraiment mirifique, mais c’est déjà autre chose. « Nous verrons en fonction des jours de tournage, il n’y a pas d’opposition de principe » explique la direction.
Pourquoi ne pas y avoir pensé avant ?
- Nouvelle émission “santé-bien-être” : Quand, combien d’enregistrements par semaine et créneaux de diffusion ?
En janvier, en remplacement de Stamm, nous vous en parlions la semaine dernière, deux 26 mn, consacrés à la santé, seront proposés.
Peut-être.
Ce mois-ci, pas d’avancées sur le sujet. « C’est une volonté, on s’oriente sur ça, mais rien n’est sûr. En tous cas, nous faisons tout pour garder une activité au moins équivalente à celle actuelle. » Pas très rassurant. « Si on doit rassurer, on rassure … » Ha voilà.
- Pourquoi maintenir Gsunt’heim en enregistrement dans l’auditorium ?
La question peut légitimement se poser puisque Sùnndi’s Kàter, qui devrait être en janvier remplacé par un jeu, déménage dans le studio 2 par « souci d’économies de chauffage ». Et pourquoi pas Gsunt’Heim alors ? A cause de la grande table. Ha. Mais là non plus, rien n’est certain. « On doit revoir tout ça, la question doit être reposée. » La solution d’un décor 3 en 1 (le jeu / le remplaçant de Stamm / Gsunt’heim) est évoquée « difficile mais faisable ». La suite au prochain épisode … ou pas.
Toujours pas d’organigramme de l’antenne d’Alsace à jour. La direction du Réseau explique que nous n’avons pas à avoir ces informations.
- Poste chargé d’édition numérique Grand-Est : création de poste, spécificité langue alsacienne souhaitée.
- Poste OPV (Carole Botton) : toujours rien
- Poste OPS – poste vacant d’Henri WEIKEN, toujours en cours de réflexion
- Poste Éclairagiste – poste vacant de Serge VOGT, recours aux CDD, « autant que de besoins » … sans l’intention pour autant de remplacer ce poste.
- DISPOSITIF ÉLECTIONS
Il faut rendre à César ce qui appartient à César.
Vous trouverez toutes les informations concernant le dispositif élections dans la note hebdomadaire de la rédactrice en chef.
Nous complétons ces informations avec les données transmises lors du CSE de juin.
Dimanche en politique :
- Le 16/06 enregistré le 14/06
- Le 23/06 en direct à 11h10
Débats : 2×45 minutes diffusés à 21h10
- Mercredi 19/06 enregistré à partir de 16h
- Mercredi 26/06 enregistré
- Mercredi 3/07 en direct ou enregistré
Les débats sont-ils chartés ? Y aura-t-il un réalisateur ? A priori, ce sont les UCC mise en image qui feront le job car « on fait de l’info, on fait du JT et on ne refait pas le monde. C’est comme Dimanche en politique ». L’ambition, notre moteur.
Dans les pages JT, à compter du lundi 17/06 : un jour, une circo en remplacement du hub. Du lundi au vendredi : carte d’identité de la circonscription, résultats aux législatives, résultats aux Européennes, présentation des candidats et sujet d’illustration en fonction des thématiques de ladite circonscription.
Soirées électorales :
– Pour le soir même. JT 19/20. Les soirées électorales démarrant à 19H53, les journaux régionaux seront raccourcis à 23 minutes (15mn de JTR + 8 mn de partie natio).
> Les rédactions qui le souhaitent peuvent rallonger leur JTR de 9 minutes (en occultant le Journal des talents) ou de 11 minutes (si elles occultent en plus 2 minutes de bandes annonces).
> Afin de laisser le temps nécessaire aux régies des 24 antennes de charger les conducteurs et habillages des soirées électorales, la partie nationale du 19/20 ne sera pas portée par une rédaction du réseau.
> C’est FTR qui portera les 8 minutes de l’offre nationale.
- Soirée législative 30 juin 2024 -1er tour.
Soirée de 19H53 à 23h diffusée par chacune des 24 antennes.
> Les antennes qui le souhaitent (parce qu’elles auront les résultats définitifs pour toutes leurs circonscriptions) pourront arrêter à 22H30. Un travail est en cours avec la direction des Sports pour fabriquer un programme de 30 minutes.
> FTR réalisera un journal des législatives de 20H55 à 21H10 et de 21H55 à 22H10. Les antennes régionales se raccrocheront à ces journaux. Il s’agira d’un résumé des résultats nationaux et des déclarations des grands leaders politiques.
> Ces 2 temps de 15 minutes chaque fois permettront aux rédactions régionales de faire le point avant de reprendre les 2e et 3e parties de leur soirée.
- Soirée législative 7 juillet 2024- 2e tour.
Soirée de 19H53 à 22h30 diffusée par chacune des 24 antennes.
> Les antennes qui le souhaitent (parce qu’elles n’auront les résultats définitifs pour toutes leurs circonscriptions) pourront prolonger jusqu’à 23H. Elles décrocheront alors et ne diffuseront pas le programme prévu pour l’ensemble du réseau.
> FTR réalisera un journal des législatives de 20H55 à 21H10 et de 21H55 à 22H10. Les antennes régionales se raccrocheront à ces journaux. FTR proposera un résumé des résultats nationaux et les déclarations des grands leaders politiques.
> Ces 2 temps, de 15 minutes chaque fois, permettront aux rédactions régionales de faire le point avant de reprendre les 2e et 3e parties de leur soirée.
– Pour les 12/13 des « lendemains », éditions spéciales du 12/13
> Il semble impossible de diffuser un produit décalé de l’actualité de 12H à 12H15 comme le Journal des Solutions et, compte-tenu de sa mobilisation la veille, FTR n’aura pas les moyens de réaliser un journal des législatives.
> Les antennes régionales diffuseront donc une édition spéciale de 12H à 12H40 les 1er et 8 juillet.
> Afin de les aider, la rédaction nationale mettra à disposition 11 minutes de sujets. Tous ces sujets ne seront pas obligatoires mais seront à la main des régions.
Quant aux moyens déployés, pour le moment pas d’ETP supplémentaire budgété. « On fait comme si nous avions une rallonge budgétaire et nous avons encore du mou dans la corde ». Les plannings sont basés « sur les équipes présentes ». Le reste de l’année risque d’être compliqué en termes d’activité : sans « stock » d’ETP, moins d’opérations spéciales, moins d’ambitions. |
Fort heureusement, les potentiels affectés pour le passage de la flamme (dont tout le monde relativise l’importance aujourd’hui) prévu pour la PAE du soir sont remobilisés pour les débats.
Sur le web, voici les préconisations de la direction numérique.
Pour les deux jours de scrutin (journée et soirée)
- · Un journaliste en 9H/19H pour suivi du jour d’élection ambiance vote et participation
- · En décalé (15H/1H ou 14/24 suivant les régions) : le RCA + 3 journalistes web + 1 CEN
Détails pour les contributeurs et CEN :
- · Backlive/ streaming découpe soirée tv : 1 CEN/ 1 journaliste
- · Actualisation papier résultat : 1 journaliste.
- · Papiers suivi ambiance et article autour extrait déclaration : 1 journaliste
Avec en amont de l’élection et de la soirée électorale : la préparation des papiers
résultats avec un papier par département a minima et un papier par grande ville si possible. Il y aura simultanément sur le site 25 backlives (suivi de la soirée minute par minute) : 24 dans les régions et 1 animé par la coordination centrale.
Pour les reportages (numériques) de terrain, on repassera.
Prochaine instance le 16 juillet prochain. En attendant, n’hésitez pas à nous faire parvenir vos questions, vos remarques sur nos adresses mails Ftv ou sur l’adresse Rp dédiée.