Depuis plusieurs années, nos conditions de travail se détériorent. Les journalistes font face à des attaques, tant verbales que physiques.
Le dimanche 10 mars, nos équipes de reportage de Martinique la 1ère ont été une fois de plus victimes d’une agression, une de trop.
La CFDT dénonce avec force ces attaques récurrentes, ces insultes et ces menaces proférées par certains « militants » à l’encontre de nos missions.
Nous exprimons notre soutien indéfectible aux salariés et condamnons fermement ces actes de violence, qui sont une atteinte flagrante à la liberté d’informer.
Ces individus agressifs ont tenté de compromettre notre mission journalistique, allant parfois jusqu’à violer la loi.
Nous interrogeons : la direction a-t-elle porté plainte ?
La liberté de la presse est inestimable, mais la sécurité de nos équipes est tout aussi cruciale.
Pourquoi nos équipes ne bénéficient-elles pas d’une protection adéquate ?
La CFDT exige de la direction qu’elle garantisse la santé mentale et physique de ses salariés.
Nos vies ne sont pas négociables !