Compte rendu de l’instance des Représentants de Proximité
France 3 Côte d’Azur
Jeudi 9 février 2023
Présents pour la direction : Samuel Peltier, Marilyne Camacho, Séverine Achard, Béatrice
Nivois (par visio).
Pour les RP : Laurence Collet, Sébastien Lemaire, Daniel Gerner et Pierre-Olivier
Casabianca
Compte rendu rédigé par S. Lemaire, D. Gerner et L. Collet
POINT ANTENNE
• «C’est pas le jour, le mag de la nuit » : 1ère diffusion jeudi 9 février au soir. Il s’agit d’un
pilote mais jugé diffusable en l’état. Il était d’ailleurs déjà disponible sur internet. C’est un
nouveau concept pour lequel il n’existe pour l’instant pas de budget alloué. Si le concept
trouve son public, le but de la direction est d’en produire 2-3 émissions dans l’année.
• Pendant les vacances scolaires : pas de 18h30, pas de VEF, pas de locales, journaux
communs les weekend, le 1er et le dernier piloté par Marseille, Antibes pilote le weekend du
milieu (18-19 février 2023)
• Salon de l’agriculture : du 27 février au 3 mars : Adrien Gavazzi, Rémy Dupont sont détachés
pour opération réseau (18H30 réseau). Enregistrement DEP (H. Migout, P. Hervé) depuis le
salon pour diffusion le dimanche 5 mars.
• La semaine du lundi 13 février, la direction accueille à Marseille la direction du réseau
régionale et les directeurs régionaux pour le séminaire mensuel (lundi 13- mardi 14)
• 17-19.02 : tour du Var et des Alpes-Maritimes, 3 étapes, horaires exacts des prises
d’antenne en discussion. T. Rysman / Nicolas Roche (consultant), éditorial Gilles Lefevre,
Fabien Madigou (commentaire moto)
Suite aux recommandations du COPIL, la direction annonce la création d’un
organigramme/trombinoscope : les salariés seront convoqués à des séances photos organisées après
les vacances. Suite aux questions des RP, la direction concède que cette photo n’est bien sûr pas
obligatoire, mais vivement souhaitable. Cette recommandation du COPIL avait pour but notamment
de mieux accueillir les nouveaux collaborateurs (CDD ou CDI), en leur permettant d’identifier leurs
interlocuteurs.
Les RP demandent si les journaux communs sont désormais acceptés et actés comme inévitables. La
direction affirme que l’objectif édicté par la direction du réseau est d’en « réduire le nombre » autant
que possible dans un avenir proche (donc après l’été). Mais qu’il sera probablement impossible de
s’en passer complètement. Ce que les RP déplorent.
POINT RECRUTEMENT
4 postes de journalistes doivent être publiés : deux postes de rédacteurs, deux postes de JRI.
Dès ce vendredi 10 février, trois de ces postes sont parus. Il s’agit des deux postes de JRI et du poste
rédacteur avec profil Police/Justice. Reste à venir un poste de rédacteur avec profil Web.
La création de poste Rédacteur en chef adjoint prend plus de temps, la procédure est plus longue.
Une mission de technicien support informatique de courte durée (3 mois renouvelables) a également
été publiée. La direction anticipe les manques à ce poste, puis qu’il est prévu un départ en formation
de la responsable informatique et que son remplaçant n’est pas encore officiellement opérationnel.
Contrairement à ce qui a été annoncé le poste de technicien vidéo n’a pas pu être comblé, faute
d’accord avec le salarié. Le poste sera republié dès que possible.
DEMENAGEMENT
1/La direction a-t-elle eu connaissance des conclusions de la chambre régionale des comptes
concernant le déménagement de France 3 Côte d’Azur à Nice ? Peut-elle les communiquer ?
D’après la direction, la chambre régionale des comptes a demandé des informations
complémentaires sur l’aspect technique du financement, des conditions de versements. Mais ces
échanges n’ont aucun impact sur le déménagement. Il n’est peut-être même pas question d’un
« avis ». Les RP s’étonnent qu’il n’y ait pas de traces écrites de ces échanges. La direction assure
n’être elle-même au courant d’aucune information supplémentaire.
Un RP a contacté la chambre régionale des comptes, dans l’attente de sa confirmation sur l’existence
des conclusions concernant le déménagement de France 3 Côte d’Azur.
2/Alors que les salariés sont opposés au projet de déménagement, comment la direction peut-elle leur
demander de s’impliquer dans l’aménagement du futur projet à travers des groupes de travail ?
La promesse de bail étant signée, on entre dans la phase de travail. Le premier atelier, lundi 6 février,
concernait le futur studio, la future régie et le plateau technique. 13 salariés y ont participé.
Les remarques formulées ont déjà permis d’amender les premiers plans. Suite à ces échanges
l’architecte retravaille déjà le plateau technique.
Il y aura d’autres groupes dans les prochains mois. La direction invite vraiment tous les salariés à
participer, même ceux qui sont contre ce déménagement.
Les RP font remarquer que les salariés hésitent, qu’il est compliqué de participer surtout pour ceux
qui sont absolument contre ce déménagement. Ces salariés se sentent délaissés par la direction.Du
coup les salariés les plus impactés risquent d’être ceux qui s’expriment le moins.
La direction insiste sur la participation de tous. Ceux qui sont contre le déménagement peuvent
participer aux ateliers comme les autres.
La direction communiquera fin février sur le prochain groupe de travail, « rédaction, montage,
mixage ».
3/Certains collaborateurs ne peuvent pas se faire à l’idée du déménagement prévu à Nice. Est-ce que la
direction peut s’engager à les aider à trouver une mutation s’ils le désirent ?
Pourrait-il y avoir un départ en rupture individuelle pour les salariés qui ne veulent pas aller à la
Victorine ? Comment se passera cette séparation ? Sur la base de quel montant de départ possible
administrativement ?
La direction peut toujours accompagner les demandes de mobilité, sans pour autant pouvoir forcer la
main à d’autres régions. Mais si certains salariés ont des souhaits de mobilité qu’ils le fassent savoir
le plus tôt possible. Cela permettra d’être à l’affût des opportunités.
Les demandes de départ de l’entreprise sont examinées au cas par cas. Pas de disposition particulière
liée au déménagement. Se renseigner sur un éventuel départ n’engage en rien et demeure une
démarche confidentielle.
Les RP insistent pour que le motif des difficultés de transport générées par le déménagement soit
retenu comme devant faciliter les demandes des salariés.
La direction précise que le montant des éventuelles primes de départ en cas de rupture
conventionnelle ne seront pas réhaussées pour ceux qui présentent cet argument, par souci d’équité
avec ceux qui ont d’autres motifs.
SALAIRES
Beaucoup de rumeurs circulent actuellement à Nice et Antibes sur les dernières mesures salariales et
les primes distribuées pour l’année 2022. Les rumeurs ce n’est jamais bon…
La direction peut-elle donner le nombre d’augmentations de salaire qui ont été attribués aux différents
collaborateurs par service, et les sommes en %.
Tous les documents ont été envoyés aux RP et aux DS explique la direction.
Des RP s’interrogent sur la source de ces « rumeurs » puisque ces documents sont confidentiels et
que seuls les RP, les DS et la direction régionale disposent de la liste des salariés ayant obtenu des
mesures.
La confidentialité est la base de la relation de confiance entre direction, syndicats et salariés. Ces
derniers acceptant que leur situation soit examinée en comité de salaire, non pas pour que leur
situation salariale soit commentée et exposée dans les couloirs, mais pour obtenir une juste
rémunération.
Même question pour les primes annuelles attribuées au bon vouloir des chefs de service.
Qu’est-ce qu’un salarié méritant ? Pourquoi certains salariés sont cantonnés à la revalorisation
minimum alors que leurs encadrants n’ont rien à leur reprocher sur leur travail ? Sur quels critères
sont données les augmentations ?
Quel est le budget alloué aux primes ? Qui fixe le budget ? Sur quels critères sont-elles distribuées
? Quel est le budget alloué aux augmentations salariales ?
La direction ne donne aucune information sur les primes, ni montant, ni nombre, ni budget. C’est une
prérogative de la direction. Il s’agit de récompenser l’investissement du salarié. Mais donner une liste
de noms serait contre-productif.
Le budget des primes est alloué par France TV. La direction ne communique pas non plus le montant.
Les RP sont unanimes pour dénoncer l’opacité de ce système qui est source de frustrations et dont
rien ne permet d’assurer le rapport entre mérite et récompense.
La direction affirme qu’elle a un droit de regard sur ces primes et qu’un chef de service doit les
justifier, les argumenter. La direction estime donc qu’il y a un contrôle sur leur attribution.
DOCUMENTATION
1/Au vu des plannings prévisionnels et des ETP les vacations des documentalistes sont insuffisantes. En
effet, sur la période de janvier à octobre 2022, le service tourne en réalité à 3,13 ETP au lieu de 4. Ceci
sans compter les inévitables absences de dernière minute qui peuvent s’ajouter. Il faudrait 17 jours de
vacation par semaine, pour que le service soit au complet et l’ensemble des tâches réalisées.
Que compte faire la direction pour combler ce manque de vacations ?
La direction raisonne en terme de tâches à accomplir, en fonction du projet du service. Les RP
soulignent que le nombre de 14 vacations était un minimum, établi après une première étude. Un
minimum, pas un maximum ! Et en l’état, le service ne dispose même pas de ces 14 vacations,
puisque les plannings étudiés ne révèlent pas forcément les absences de dernière minute (maladie
etc..). Dans toutes les régions interrogées par les RP, le nombre de vacations/semaine est plus
important au service documentation : entre 17 et 20 vacations en général.
Les RP demandent que la documentation soit dotée de 17 vacations, ce qui est une demande
modeste au regard de ce qui se fait dans le réseau et qui correspond à 4 ETP de documentalistes à
temps plein.
La direction assure qu’elle va examiner la situation.
2/La revue de presse était une des tâches de ce service qui avait été supprimées, depuis l’accès à
Cafeyn par tous les journalistes. Un nouveau planning et une nouvelle organisation du service avaient
été adoptés fin 2021. Le rédacteur en chef actuel veut réintroduire cette tâche malgré le manque de
vacations constaté. Le service est donc très inquiet et ne pense pouvoir le faire dans ces conditions.
Peut-on renforcer le service afin de pouvoir effectuer cette tâche convenablement ?
Le Rédacteur en chef a exprimé le souhait d’avoir à nouveau une revue de presse quotidienne. La
réflexion est en cours. Les RP soulignent que l’on sait depuis longtemps que 14 vacations/semaine
sont insuffisantes, surtout si l’on rajoute de nouvelles tâches.
La direction affirme que le travail est en cours avec l’UOA pour la planification après les vacances,
notamment en vue du rétablissement de la revue de presse. Les RP savent que la revue de presse est
souhaitée par beaucoup de journalistes de la rédaction. Mais ils insistent pour que cette nouvelle
organisation soit l’objet d’une discussion et que les documentalistes ne découvrent pas leurs
nouveaux horaires en ouvrant le mail du planning, un vendredi soir.
La direction affirme que les entretiens individuels seront l’occasion de discuter.
Elle précise que le nouveau rédacteur en chef souhaite « remettre la documentation au centre de la
vie de la rédaction, et c’est une bonne chose ! ». Un documentaliste est déjà présent aux réunions de
prévisions avec une journée de prépa.
Reste qu’à moyens constants cela s’annonce délicat.
JT EDITION COTE D’AZUR
Lors de la perquisition dans la métropole puis la perquisition dans les bureaux de 4 adjoints de la mairie
de Nice, la rédaction en chef n’a pas trouvé la possibilité ou n’a pas jugé bon de faire faire un reportage
dans le JT de 19h. Il n’y a pas non plus eu de reportage les jours suivants. L’affaire porte sur des
soupçons d’escroquerie en bande organisée, de faux et usage de faux, et d’abus de biens sociaux. La
direction régionale soutient-elle la rédaction en chef dans son jugement de ne pas faire faire de
reportage ? Trouve-t-elle cette situation normale ?
Selon la direction régionale, « on peut toujours faire mieux, ou plus, mais on a fait le boulot sur cette
affaire ».
Jeudi 2 février une équipe de Nice a réalisé un duplex en direct dès le midi ; l’équipe « collait aux
basques de Christian Estrosi, et c’est une bonne chose ». Le soir, la même équipe a réalisé un sujet
avec un sonore indiquant que le maire ne souhaitait pas nous répondre. Dans le JT de 19h, un off +
renvoi vers l’article internet actualisé. L’information a été donnée midi et soir le lendemain, avec
renvoi systématique sur internet et l’article réactualisé.
Selon la direction, la couverture a été à la hauteur des informations dont nous disposions et en
fonction des interlocuteurs qui sont disposés à répondre.
La direction tient à remercier les équipes, notamment l’équipe de Nice qui a travaillé le sujet et a
« fait de son mieux. Ce n’est pas ce qu’on appelle de la censure. C’est un mot qui a s’applique à
d’autres pays, d’autres systèmes, pas à nous. »
Selon la direction enfin, le tract diffusé est « mensonger » et discrédite les salariés qui ont travaillé
sur le sujet. « La rédaction en chef est prête à donner du temps pour travailler ces sujets et sortir plus
d’informations, des enquêtes », précise-t-elle.
Les RP soulignent que cette affaire a de nouveau posé la question de la diffusion d’une même
information dans la locale et le JT, qui s’avère parfois nécessaire. La direction n’a pas d’opposition de
principe à réexposer un même sujet dans les deux éditions.
BANC PUBLIC
La chronique « banc public » tous les dimanches filme des gens au hasard pris dans la rue qui s’assoient
sur un banc. Sur les deux derniers numéros, après le refus de titulaires, la rédaction en chef a demandé
à deux CDD différents de prendre trois caméras et d’assurer seuls la mise en image au milieu d’une rue
autour d’un banc… sans OPV, sans 2e JRI et sans éclairagiste.
La direction considère-t-elle que ces conditions de tournage à trois caméras en mini réalisation sont
normales pour un JRI ? Combien de caméras un JRI peut-il gérer tout seul ?
Ce n’est pas un refus des titulaires, affirme la direction. D’ailleurs la charte a été pensée et écrite par
deux JRI titulaires. Une caméra et deux moyens de captation supplémentaires, type Gopro en plan
fixe. C’est le même principe que pour Point Cult’, la direction n’y voit rien de choquant, d’autant qu’il
s’agit avec banc public d’une interview posée, avec du temps disponible pour la mise en place.
Mais elle concède que les conditions de tournage méritent peut-être d’être rediscutées, surtout si
certains JRI se sentent mis en difficulté.
Les RP insistent sur le contexte du tournage, dans la rue, avec plusieurs interlocuteurs, qui
augmentent la difficulté.
POINTCULT
Les tournages de PointCult’ se déroulent de la même manière. Il y a deux caméras 200 et une Gopro
pour filmer un entretien avec un invité. Le JRI se retrouve seul pour gérer 3 caméras. Quand il ne peut
pas, un autre salarié s’occupe du cadre de la Gopro. La direction trouve-t-elle ce fonctionnement
normal ?
Même réponse : il faut refaire un point avec les responsables et les équipes.
CHRONIQUE JT
Quel est le rôle des journalistes de chronique ? Les JRI qui sont de chronique font un travail d’OPV.
D’après l’accord collectif des journalistes, quelles tâches peuvent effectuer les JRI ?
Le chroniqueur apporte un éclairage, une expertise sur une information pour apporter une plusvalue au JT.
Les JRI collaborent à la recherche d’information, tournent des images quand c’est nécessaire, et sont
disponibles pour cadrer un éventuel duplex.
Les RP soulignent que le JRI affecté à la chronique se sent parfois dans le flou, souvent il n’y a pas de
tournage au final.
Tous ces nouveaux modules méritent d’être débriefés avec la rédaction en chef.
POINT EMPLOI JOURNALISTES
Les postes de journalistes n’ont toujours pas été publiés alors qu’il y a eu des publications de postes les
20 et 27 janvier. Y’a-t-il un nouveau souci ?
Le problème de logiciel est réglé. Le processus est plus long pour des postes restés en sommeil plus
longtemps (d’autres postes sont plus rapidement publiés, quand il s’agit d’un départ récent).
PROMPTEUR
Des mises à jour Windows se produisent en plein jt. Peut-on stabiliser cet outil ?
Le service informatique et l’encadrement technique vont examiner le problème.
ENCADREMENT TECHNIQUE
Où en est la situation de l’encadrement technique ? Peut-on faire un point d’étape ?
La direction se dit toujours attentive et consciente qu’il reste des difficultés au sein du service. « Le
travail continue ». Les préconisations du cabinet ACCA ont été mises en place. Les RP soulignent que
ces préconisations, certes profitables, ne sont pas vraiment à la hauteur de l’enjeu. Le cabinet
AMETRA 06 (médecine du travail) doit à son tour faire des propositions (attendues au mois de mars)
pour accompagner le collectif.
« Les mouvements initiés au sein du service donnent des solutions et créent une dynamique mais ne
suffiront pas » précise la direction
CDD LOCAUX
De nombreux CDD venant de l’extérieur du département travaillent beaucoup à France 3 Côte d’Azur
en ce début d’année. Résultat : certains CDD locaux travaillent moins que d’autres CDD locaux en ce
début d’année. Pourquoi une telle inégalité ? Est-ce une volonté de moins faire travailler certains ?
Le nombre de jours de travail est plafonné à 120 jours. Faire travailler les locaux en début d’année
n’est pas souhaitable, le but étant de les préserver, lisser leur collaboration sur l’année, pour les
périodes estivales (où les frais d’hébergement explosent) et pour les périodes de fin d’année.
COMPTES FRANCETV DES CDD
Au 1er février, les comptes des CDD ont été désactivés.
Dans une précédente question RP (septembre 2022), il a pourtant été mentionné que le problème
serait solutionné avec le déploiement du nouveau logiciel Marguerite.
Visiblement, ce n’est pas le cas. Quelle est donc la procédure à suivre pour éviter que les personnels
précaires aient à gérer des désactivations récurrentes de leurs comptes ?
Il s’agit d’une erreur d’interprétation : le déploiement du logiciel Marguerite n’a rien à voir avec le
problème. En effet, au départ il avait été annoncé qu’avec le logiciel Marguerite, l’activation du
contrat allait automatiquement activer l’adresse mail du collaborateur CDD ou intermittent. En
réalité, cela demande l’intervention d’un assistant de rédaction dans MonKiosque. C’est donc une
charge de travail importante et la direction doit trouver une façon optimale de gérer cette tâche.
En attendant, tous les comptes CDD azuréens sont réactivés jusqu’au 6 juin. Les CDD qui dépendent
de Paris doivent être réactivés via une demande des assistantes par ATLAS. Les CDD qui dépendent
d’autres région : on ne peut rien faire. Ils doivent identifier le problème avec la région qui a créé le
compte.
EMPLOI : Tous les CDD qui souhaitent postuler, et qui ne possèdent pas d’adresse FTV valide,
doivent remplir le formulaire RGPD (disponible sur chaque offre d’emploi) et le retourner à l’IRH.
Après visa par Paris, ils seront intégrés à la bourse à l’emploi. Disposer d’une adresse mail FTV ou
d’une adresse mail validée est la seule solution pour postuler aux offres d’emploi.
PRESSE
Au Bri, il n’y a aucun Var-Matin et qu’un seul Nice-Matin : l’édition Grand Ouest. Pourrait-on avoir au
moins un journal papier de chaque édition de Nice-Matin ?
L’ère n’est plus au papier, nous devons tous être éco-responsables. Certains RP estiment au contraire
qu’une ère n’en efface pas une autre et que pour un journaliste, un cadre ou un présentateur,
disposer d’une version papier est indispensable. Cela avait été validé il y a un an et demi, que la
rédaction disposerait de quelques exemplaires de Var Matin et Nice Matin. La direction veut bien
réexaminer ce point.
DROIT DE GREVE
Est-ce moralement acceptable de recomposer des équipes de reportage lorsqu’il y a des grévistes ?
« Oui, c’est moral et c’est même légal », affirme la direction. « Il appartient à l’entreprise de
réorganiser ses équipes et donner du travail à son personnel non-gréviste. »