Suite à la restitution de l’expertise ORSEU le mois dernier, les élus du CSE réseau F3 ont exposé plusieurs préconisations auxquelles la Direction ne s’est pas opposée.
Si certaines concernaient la nécessaire réforme du dispositif Lignes Directes Harcèlement, d’autres portaient sur la prise en compte des effets délétères sur la santé des salariés de nos Antennes de Lille et d’Amiens.
Ainsi, la remise en route du Copil paritaire pour le Web des Hauts-de-France s’imposait dans les meilleurs délais.
Cette résolution a été formulée le 17 mars mais plus d’un mois après, les représentants des salariés de Picardie et du Nord Pas-de-Calais n’étaient toujours pas sollicités par l’un des représentants de la Direction à ce Copil. Après avoir adressé un premier mail à la Direction demandant la reprise du Copil, c’est au bout du 3ème courriel de relance que les représentants des salariés ont enfin reçu une réponse, ouf !
Pourtant, l’Inspection du Travail de Lille a bien constaté que FTV était, dans la gestion de ce dossier, en infraction vis-à-vis du Code du Travail, et l’a mis en demeure de lui présenter un plan d’actions pour gérer cette crise avant cet été. Si ce n’était pas réalisé, FTV s’exposerait à des poursuites pénales, il est grand temps de reprendre le fil du dialogue et de l’esprit QVT…